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1. - LA VOIE DES ÂMES HUMAINES


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1. - LA VOIE DES ÂMES HUMAINES

 

 

La voie des âmes humaines, le long de la spirale infinie du temps et de l’espace, est l’un des plus importants problèmes qui soit. Les grands initiés n’ont que fort peu parlé de ce sujet, tout comme, au cours des siècles, les sages et les génies de l’humanité n’ont presque rien écrit à ce propos. Cette voie est lentement tracée par les ères, les époques, les races et leurs cultures respectives qui apparaissent, puis disparaissent au cours de la marche ininterrompue du rythme stellaire.

 

Dans cet ouvrage, nous nous sommes donné pour tâche de jeter un pont entre les connaissances traditionnelles dispersées qui nous sont parvenues des antiques Écoles ésotériques, et le haut savoir que le Maitre nous a donné au cours de ses causeries. Nous estimons de notre devoir de souligner ce qui sera bâti grâce aux réalisations de la science moderne et plus spécialement celles auxquelles la psychologie parviendra dans un proche avenir. En second lieu, il nous est indispensable de faire ressortir qu’en étudiant ce problème nous ne cherchons pas à réfuter les conceptions du matérialisme scientifique contemporain. À notre avis, ce dernier a pour tâche historique spéciale de jeter bas les hypothèses et théories scientifiques erronées, ainsi que toutes les préventions mal fondées et les préjugés que nous avons hérités de nos aïeux et qui entravent la libre pensée humaine à notre époque de liquidation. Leur tâche est de défricher et de labourer les terres incultes dans tous les domaines de la vie, afin de les préparer à la germination et à la fructification des semences de la haute connaissance que la nouvelle Époque culturelle à venir apportera à l’humanité.

 

La science, en tant que collaboratrice à l’édification de cette haute connaissance, a joué et continuera à jouer un rôle très important. Les méthodes de recherches scientifiques sont basées sur les faits et les phénomènes du monde des sens perceptifs. Elle part de la forme extérieure des choses pour en arriver à leur contenu et au lien entre les deux. La voie qu’elle suit est longue, mais sure. La science est déjà parvenue jusqu’aux domaines secrets de la matière, bien qu’elle ne soit pas en état d’effectuer elle-même cette synthèse astrocosmique, qui seule peut dévoiler le sens de l’Unité dans la Création, — tâche au-dessus des capacités de la science contemporaine, quoique ce soit elle qui pose les fondements sur lesquels s’édifie la nouvelle conception de l’évolution de la vie.

 

Pour arriver à la découverte des lois supérieures et de la nature de la création, ainsi qu’à la connaissance métaphysique, qui seule peut pénétrer les énigmes de la création, il est indispensable d’appliquer de nouvelles méthodes. Les méthodes scientifiques appliquées jusqu’à présent (induction, déduction et même analyse comparée) n’opèrent que dans le domaine des perceptions, des sensations et jusqu’à un certain point dans celui des notions.

 

D’un autre côté, la comparaison, l’analogie —- méthode de recherches causales de la philosophie — n’est que la frontière ou point de transition menant à une méthode plus parfaite de connaissance de la réalité : l’intuition. Mais cette dernière opère au-delà des limites de la connaissance statique, mécanique et involutionnaire qui analyse le monde uniquement dans ses trois dimensions connues. Tandis que l’intuition opère dans des domaines de dimensions supérieures : le domaine des connaissances métaphysiques, métapsychiques, spirituelles.

 

La science contemporaine qui étudie la nature objective par l’évolution des formes dans la chaine des divers règnes ouvre la voie à la connaissance spirituelle qui dévoile l’essence humaine manifestée par sa nature émotionnelle, intellectuelle et volitive. Le perfectionnement même des formes est une des conditions du développement des qualités émotionnelles, des facultés intellectuelles et des forces volitives. Le rayon, si l’on peut ainsi s’exprimer, est immortel de par son essence et immuable de par son origine initiale.

 

L’homme dont l’âme est éveillée et qui a pris conscience de son essence cosmique, jouit déjà d’une connaissance intime qui lui dévoile une loi secrète de la création : la

réincarnation de l’âme humaine (1). Pour ce qui est de l’évolution des formes, ainsi que de l’hérédité, ces questions ont été suffisamment éclaircies par la science. Nous sommes toujours prêts à utiliser et à profiter des apports de la science dans ce domaine. Notre tâche immédiate est de nous occuper de la voie suivie par les âmes humaines dans le perfectionnement de leurs formes. II y a là un profond parallèle : l’essence intime de l’âme humaine se manifeste avec d’autant plus de force que le corps physique de l'homme se perfectionne davantage. Ce fait a été constaté dans toutes les races humaines et leurs cultures (2).

 

Actuellement, sur notre terre se sont incarnées des âmes des catégories les plus variées : certaines d’entre elles ont vécu dans les races et les cultures précédentes, avant de venir s’incarner dans notre race blanche, tandis que d’autres, n’ayant pas avancé, se sont réincarnées dans ces peuples qui sont, à notre époque, les vestiges des dernières cultures des races transitoires précédant la nôtre.

 

Nous nous sommes donné pour tâche, ici, de réunir toutes les connaissances éparses qui nous sont parvenues de l’Antiquité, et de les relier à cette haute connaissance que le Maitre nous a léguée. Cette tâche est d’une importance primordiale, car ainsi on profite du chemin parcouru par l’homme pour fonder ce nouveau que l’on sème déjà, en d’autres termes le présent sème les graines des nouvelles conceptions dans le sol du passé, et l’avenir en verra murir les fruits : la nouvelle race et ses cultures.

 

Dans les chapitres précédents, nous avons déjà donné les traits spécifiques morphologiques de chacune des races humaines qui ont peuplé successivement notre terre. Le métissage des races a amené une variété de types mêlés, chez lesquels certains traits spécifiques dominent au détriment des autres. Ces diversités sont le résultat des lois karmiques et héréditaires.

 

D’après le Maitre, les humains se réincarnent sur terre à notre époque, en passant successivement par les catégories suivantes de conscience : la conscience moïsiaque, la conscience messianique, celle des justes, puis celle des Disciples. Conformément aux facultés spécifiques de ces

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(1)    Ce sujet a été traité dans un grand nombre d’ouvrages, auxquels le lecteur intéressé peut recourir pour de plus amples renseignements.

(2)    Se reporter à la IIe partie, où cette question est traitée en détail.

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diverses catégories de conscience, les âmes développent leurs qualités et facultés intellectuelles, émotionnelles et leur force volitive. À ce sujet, il donne l’illustration suivante :

« Dans le monde, il y a trois situations dans lesquelles vous pouvez agir. Première situation : vous êtes un être raisonnable que le Monde Invisible envoie sur terre, vous donnant un corps humain, sans vous demander si vous le désirez ou non. C’est la situation de la conscience moïsiaque.

Deuxième situation : on vous envoie sur terre, vous donnant un corps, et vous jouissez d’une certaine liberté, celle de dire où vous voulez être. C’est la situation de la conscience messianique. Troisième situation : du Monde Invisible on vous envoie sur terre au milieu des conditions les plus favorables pour apprendre, ce pour quoi vous jouissez d’une liberté relativement plus grande. Cela, c’est la situation de la conscience du Juste. »

 

« Dans la vie de la conscience moïsiaque, vous aurez à expier vos péchés et vous souffrirez. Dans la vie de la conscience messianique, vous allez vous perfectionner. Dans la vie de la conscience du Juste, vous aiderez les autres. Mais, quand vous viendrez sur terre avec la conscience du Disciple, vous aurez à apprendre la première règle qui permet à l’amour de s’exprimer et de se manifester dans votre vie. Alors vous serez aussi indulgent pour les autres que vous l’êtes pour vous-même. »

 

D’après le Maitre, chaque âme représente, de par son essence, un rayon qui résonne comme un ton fondamental tout au long de ses réincarnations successives dans le cadre d’un système solaire donné. Nul n’est en état de changer le rayon fondamental de cette âme. De par sa nature l’âme est asexuée. Au cours de l’enchainement de ses réincarnations, elle prend soit la forme d’un homme, soit celle d’une femme, suivant le caractère du karma qu’elle doit subir.

Pour revenir à la nature et aux caractéristiques des quatre catégories de conscience, disons que les consciences moïsiaques sont les âmes retardataires de cultures passées, c’est-à-dire des âmes qui ont échoué à leur examen. Les consciences messianiques sont des âmes jeunes, en ce qui concerne l’expérience et les épreuves de la vie, des âmes qui ne sont pas encore parvenues à dominer leur nature émotionnelle. Elles dérivent sans cesse sur les vagues orageuses de la vie. Les contradictions et les souffrances trempent leur âme, alors elles commencent à s’efforcer de dominer leurs désirs charnels. Les Justes, ou bien comme certains auteurs les appellent « les âmes cultivées », sont ceux auxquels sont assignées certaines tâches dans la vie. Dans cette catégorie entrent les âmes de talent et de génie qui ont à accomplir des tâches relativement plus marquantes. La quatrième catégorie d’âmes est celle des Disciples. Ces derniers suivent habituellement les pas de leur Maitre dans la création des races et des cultures.

 

Le Maitre nous a indiqué quels sont les quatre degrés de l’Amour : l’Amour en tant qu’aspiration instinctive, l’Amour en tant que sentiment, l’Amour en tant que force, et l’Amour en tant que principe. L’Amour en tant qu’instinct se rapporte à la catégorie des consciences Moïsiaques ; d’après le Maitre, ces dernières se meuvent surtout dans les sphères inférieures de l’hostilité ; dans leur comportement, elles ont pour devise la loi du Talion (oeil pour oeil, dent pour dent) ; leur vie ne sort pas du cercle de la famille, du clan, de la tribu et ces âmes ne connaissent qu’une seule manière d’acquérir le plus de biens possible : la force et la violence. Pour cette catégorie de conscience, la guerre est l’expression du « droit du plus fort » et l’unique moyen de résoudre les conflits. Elles ne pensent jamais qu’à leur propre bien égoïste. Leurs intérêts s’élargissent jusqu’à leur famille, leur tribu, et ils atteignent leur extrême limite avec le chauvinisme national. II nous faut malheureusement reconnaitre que la majeure partie de l’humanité se trouve, de nos jours, dans cet état de conscience.

 

Les messianiques sont, selon le Maitre, une catégorie de consciences qui vont à la dérive dans le monde des tentations, ballotées par les vagues de la vie. II y a en elles une étincelle de conscience collective qui s’étend au cercle de ceux qui partagent leurs conceptions et leurs intérêts. Elles ont pour devise : « Partageons-nous tout entre nous-mêmes. » Ces consciences sont déjà parvenues au deuxième stade de l’amour : l’Amour en tant que sentiment. En elles dominent les sentiments, les émotions ; ce sont des êtres exaltés et pleins de foi. Dans leur vie, les deux limites extrêmes entre lesquelles elles oscillent sont la foi et l’impiété ou l’incroyance. Pour elles, le monde représente une arène dans laquelle le Bien lutte contre le Mal. Tous les mobiles de leur vie se bornent au problème du péché et de son expiation. Ces êtres sont constamment occupés du salut de leur âme et de celle de leurs prochains. Ils font de la charité un culte, une voie de salut pour leurs âmes.

 

Les Justes sont plus avancés de par le degré de leur conscience. Ils vivent dans la souffrance. Ils agissent conformément à la loi éthique du devoir et tendent à sacrifier leurs propres intérêts au bien commun. Ce sont les précurseurs et les tâcherons oeuvrant pour un idéal donné. L’Amour exerce en eux une puissante action. Ils sont les pionniers de la culture nouvelle, des courants spirituels, des découvertes scientifiques, ce sont des gens de l’Art poursuivant un Ideal. Leur activité est de nature à servir l’oeuvre du Maitre, quoiqu’inconsciemment encore. Tous les nouveaux courants spirituels, préconisant de nouveaux idéals moraux et éthiques, de nouvelles idées sociales, les progressives, tels que les Tolstoïstes, les abstinents, les végétariens et autres, en un mot tous les mouvements spirituels rejettent la violence. Ils parlent des droits et des devoirs de l’individu. La devise de leur vie a un caractère démocratique : le droit de la majorité. Leur comportement est déterminé par le devoir envers l’ordre, la loi et la justice.

 

Les Disciples sont des âmes déjà éveillées qui suivent sans s’en écarter la voie de leur Maitre. À chaque nouvelle époque culturelle, ils viennent comme une force dynamique, pour aider les Maitres dans leur oeuvre. Ils personnifient le sol où le Monde Invisible sème les nouvelles conceptions qui doivent devenir les fondements sur lesquels va s’ériger la nouvelle Époque avec ses cultures correspondantes. Plus loin, nous aurons l’occasion de nous étendre davantage sur cette catégorie d’âmes.

 

Les trois premières catégories de conscience sont soumises aux lois du Karma, distribué et dirigé par les Maitres du Karma, tandis que l’évolution de la catégorie des « Disciples » est confiée aux fermes mains du Maitre. Les principes (corps) spirituels des disciples sont plus subtils, ils sont comme des instruments aux mains du Maitre. C’est lui-même qui détermine la voie que devra suivre leur réincarnation : dans quelle contrée, quel peuple, quelle société et quelle famille devra s’effectuer leur réincarnation, suivant la tâche qu’il leur assigne. Par contre, les trois premières catégories de conscience sont assujetties exclusivement à l’inflexible Loi du Karma, dont ils expient une partie à chaque nouvelle réincarnation.

 

Comme nous le voyons, le Maitre nous a donné suffisamment de critères pour nous permettre de déterminer nous-mêmes dans quelle catégorie de conscience se trouve une âme au cours d’une réincarnation donnée. Cela nous permet également de juger par nous-mêmes, à chaque instant, quelles forces de ces quatre catégories de conscience se manifestent. D’un autre côté, nous devons remarquer que chacune de ces quatre catégories de conscience se trouve en rapport avec des organes déterminés, lesquels de leur côté sont le résultat de la synthèse effectuée au cours de toutes les phases passées de l’évolution humaine.

 

Comme nous l’avons déjà dit au début de cet ouvrage, chaque race a déposé son empreinte sur la structure de la tête et sur le cerveau humain, étudiés par la physiologie du système nerveux supérieur, scientifiquement, et par la phrénologie, métapsychiquement. Ces millions d’années écoulés ont apposé leur sceau sur l’anatomie, la physiologie, la psychologie et la métapsychique des humains. Afin que les âmes puissent exprimer tout leur potentiel, elles sont assujetties, dans leur développement, à l’auguste loi de la Réincarnation. Afin de rendre cette dernière plus claire, il nous faut donner quelques explications sur l’appareil psychique de l’homme.

 

En premier lieu, il nous faut faire la distinction entre « individualité » et « personnalité ». La notion d’individualité est plus large : elle est l’essence humaine projetée dans une personnalité au cours d’une réincarnation donnée. La notion de personnalité est plus étroite : c’est la forme éphémère de conscience physique, émotionnelle et intellectuelle que revêt l’individualité ; la personnalité n’est qu’un des anneaux de la chaine de réincarnations de l’individualité. Le corps physique de la personnalité est donné par les parents. Il est l’expression des traits héréditaires de tout un clan. Ces traits héréditaires sont en dépendance fonctionnelle de l’expérience que l’individualité doit acquérir, par l’entremise de cette personnalité, dans une réincarnation donnée ; le corps physique ici représente en quelque sorte un chèque tiré sur le Karma créditeur ou débiteur de l’individualité, au cours de la réincarnation donnée.

 

En second lieu, on doit savoir que la conscience émotionnelle et intellectuelle humaine, revêtue par la personnalité, est le résultat des expériences amassées par l’individualité au cours de ses diverses réincarnations. Les expériences acquises au cours de sa dernière réincarnation formeront le capital avec lequel opèrera la nouvelle personnalité dans sa réincarnation suivante. En bref, la personnalité représente la somme d’expériences qui, au cours des nombreuses réincarnations, se sont cristallisées sous forme de qualités émotionnelles, de facultés intellectuelles et de forces volitives. De son côté, l’individualité est plongée dans le monde causal et y puise ses forces. Les trois consciences, à l’aide desquelles la personnalité s’exprime physiquement, émotionnellement et intellectuellement, ont chacune de son côté une vie indépendante dans un certain sens. La physiologie nous découvre la vie du corps physique qui possède plusieurs fonctions autonomes : toute une série d’entre elles sont indépendantes de la volonté humaine. C’est pourquoi le Maitre nous enseigne que nous devons traiter le corps comme notre ami le plus intime, le meilleur et ne pas le maltraiter, mais subvenir raisonnablement à ses besoins, c’est-à-dire, contrôler avec sagesse ses fonctions, ses organes et ses muscles, tout comme un musicien consciencieux traite son instrument. Le corps physique est le résultat d’une Évolution millénaire, à laquelle ont pris part les minéraux, les végétaux et les animaux, aussi bien que les races humaines et leurs cultures.

 

Les consciences émotionnelle et intellectuelle de l’homme jouissent aussi, dans un certain sens, d’une vie indépendante. Les êtres possédant une conscience moïsiaque sont en général les esclaves de leur corps physique, manifestation la plus dense de la vie des humains. L’homme à la conscience messianique est généralement limité par sa conscience émotionnelle. Le Juste possède un mental déjà éveillé, à l’activité consciente. Le Disciple est lié au corps causal où réside l’âme.

 

Dans la voie du développement de l’humanité, les consciences moïsiaques conditionnent le développement des consciences messianiques qui, de leur côté, conditionnent celles des Justes, tandis que les Justes conditionnent le développement des Disciples, lesquels sont sur le point de terminer leur évolution humaine. Au cours de l’édification de la nouvelle culture, les disciples transmettront aux âmes géniales le haut savoir qu’ils ont reçu de leur Maitre et des Êtres Avancés Invisibles ; de leur côté, les âmes géniales communiqueront ce savoir aux hommes de talent ; ces derniers le transmettront aux consciences messianiques, et celles-ci aux consciences moïsiaques. Ainsi ces diverses catégories de consciences s’interpénètrent et apprennent à se mieux connaitre les unes les autres. Ces profonds « processus alchimiques », oserions-nous dire, contribueront à la formation du nouveau type humain : l’homme de la sixième race, expression de la coordination harmonieuse de la Bonté, de la Raison et de la Beauté. Ce nouveau type d’homme sera l’image idéale du disciple.

 

La sixième culture de la race blanche (qui donnera naissance à la sixième race humaine et créera l’ambiance favorable à son développement ultérieur) provoquera une puissante révolution spirituelle qui balayera et anéantira toutes les idoles du passe, extirpera toutes les superstitions religieuses, les hypothèses et théories stériles, ainsi que tous les préjugés sociaux. Alors les êtres humains seront affranchis de tous ces intermédiaires personnels ou collectifs inutiles, ils seront rénovés et parviendront à leur maturité, étant donné qu’ils seront en contact direct avec le monde métapsychique, avec le domaine de l’Unité Universelle.

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