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TÂCHES ET COMPORTEMENT DU DISCIPLE PENDANT LES EXAMENS


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TÂCHES ET COMPORTEMENT DU DISCIPLE

PENDANT LES EXAMENS

 

 

Voici quelques pensées, règles et indications qui nous ont été données par le Maitre et auxquelles le disciple doit se conformer dans son travail ou dans les épreuves qui lui sont imposées.

 

Pour ne pas tomber sous l’influence des esprits des ténèbres, le disciple doit posséder les connaissances et les forces corrélatives et ne pas en avoir les défauts, car les défauts sont comme des antennes qui attirent les vibrations inférieures et provoquent le chaos et la disharmonie dans sa conscience. Le Disciple doit également savoir qu’il est un pèlerin, un « voyageur sur terre » et que sa conscience doit toujours être en éveil, car à chaque instant il peut être appelé dans l’autre monde.

 

Le disciple doit savoir que « les états intérieurs sont plus puissants que les conditions extérieures ». Ceci est une loi : Tant que le disciple n’aura pas transformé ses états intérieurs, il lui sera impossible de transformer les conditions extérieures. Tous les obstacles et conflits extérieurs sont pour le Disciple, des combats sur le champ de sa vie intérieure. Pour pouvoir surmonter les contradictions intérieures et les obstacles extérieurs, le disciple doit être souple, artiste, musicien, poète et philosophe. Alors, la Nature tout entière lui parlera : il ressentira la vie des fleurs, des minéraux, des sources, du milieu ambiant tout entier.

 

Le Maitre dit : « Vous devez avoir foi dans les dons que vous possédez, afin de pouvoir devenir peintre, poète, musicien ou écrivain. Toutes ces capacités sont encloses en vous. II vous faut découvrir les méthodes permettant d’éveiller en vous les dons qui vous sont nécessaires dans votre vie actuelle. »

 

Le disciple ne critique jamais; il constate seulement ses propres fautes et les répare. « La science moderne détient la faculté de transmuer le carbone en diamant. II n’est besoin que d’une forte pression et d’une haute température. Les fautes que vous avez commises sont du carbone que vous devez transmuer en diamant. »

 

Le disciple ne doit pas être affecté du fait qu’il ne voit pas les résultats de la peine qu’il se donne en s’efforçant d’acquérir certaines vertus ou d’en raffermir d’autres, ou bien en cherchant à déraciner certains de ses défauts. Le résultat de ses efforts commence toujours par se projeter tout d’abord en haut, dans ses corps ou véhicules supérieurs, et ce n’est qu’ensuite qu’ils trouvent leur expression, ici, sur terre. Le péché est comme une lèpre, c’est une lèpre spirituelle. Le disciple doit se débarrasser de toutes les greffes qui lui ont été transmises par ses aïeux.

 

Quand un disciple est offensé par quelqu’un, il doit tout d’abord faire sévèrement son examen de conscience, pour vérifier si cela est exact et, dans ce cas, procéder immédiatement au nécessaire pour réparer sa faute. Voici quelle règle le disciple doit appliquer dans pareil cas : si quelqu’un vous offense et que vous restez imperturbable, intérieurement calme, équilibré, c’est une indication que cette offense ne vous touche pas, au contraire, si vous perdez votre équilibre, si vous êtes troublé, cela indique que l’offense s’adresse véritablement à une de vos fautes. Personne sur la terre ne peut éviter les erreurs. Si l’on n’a pas ses propres erreurs, on porte celles des autres. Le sot tire une leçon de ses propres expériences, tandis que le sage tire un enseignement des erreurs d’autrui.

 

D’après le Maitre, il y a trois manières d’évoluer : 1) la voie ordinaire, la plus lente; 2) sous la direction d’un Maitre; 3) l’évolution rapide, accélérée, également sous la direction d’un Maitre. Cette dernière est accompagnée de grandes souffrances. Elle exige la réparation immédiate de ses fautes.

 

Le disciple doit savoir qu’il est en dehors, au-dessus de la peine et de la joie. S’il ne peut se détacher de sa peine et de sa joie, comme de quelque chose d’objectif, alors il ne peut vivre dans la Réalité. Le disciple ne doit pas mépriser la douleur. La douleur représente des entités avancées qui suivent le disciple et se plaignent à lui. Le disciple doit s’arrêter, faire la connaissance de l’entité qui se plaint à lui, l’enseigner, prier et ensuite l’envoyer travailler.

 

Le disciple doit respecter comme sacrée la loi suivante : II ne faut pas lutter avec le Mal, mais constamment soutenir le Bien. En luttant avec le Mal, on ne parvient à rien. Pourquoi mesurer ses forces avec un torrent qui déferle ? II faut le laisser s’écouler. Ne luttez pas avec les préjugés des gens, mais éveillez en eux la Vérité.

 

Le Disciple doit appliquer la régie suivante : Quand il est dans un état d’esprit déprimé, oppressé, il peut utiliser plusieurs procédés pour rétablir son équilibre, sa quiétude. Il peut y parvenir par l’un ou l’autre de ces procédés : 1) en aspirant l’air; 2) en mangeant des fruits; 3) en mangeant un morceau de pain; 4) en buvant quelques gorgées d’eau chaude, etc. Pourquoi ? Parce que le Réel se trouve enclos dans l’air, dans l’eau, dans les fruits, dans le pain, etc. Quand nous absorbons consciemment de l’air, de l’eau, du pain, des fruits, nous établissons avec leur aide un lien avec la Cause Primordiale.

 

Le disciple doit savoir qu’il apprend la musique la plus ardue : la musique de la vie. L’univers tout entier est une école où l’on apprend à discipliner les âmes. La sureté du disciple réside dans l’étude. Il ne lui est pas indispensable de tout savoir, mais de saisir le peu qui lui est nécessaire dans un cas donné. Quand il va à la source, il ne lui est pas nécessaire de se rendre compte de la composition de l’eau, d’où elle provient, etc., mais, dans ce cas-là, le peu qui lui est nécessaire est de boire; il apprendra les autres choses plus tard, dans un autre cas.

 

Le disciple doit se mettre au travail avec le peu qu’il possède. Il y a des mois pendant lesquels les arbres fleurissent, d’autres pendant lesquels murissent les fruits, et d’autres mois pendant lesquels ils sont cueillis. Cela est tout spécialement destiné à ceux qui cherchent la voie.

 

Il y a trois choses essentielles pour le disciple : l’Amour, le Savoir et le Travail. Pour sa voie mystique, il est essentiel que le disciple possède un lien intime étroit avec la Nature. Chaque chose de l’extérieur est en relation avec quelque chose d’intérieur dans l’homme. Il y a une sublime corrélation. Et pour la comprendre, l’Amour, le Savoir et le Travail sont indispensables. Le disciple doit développer infatigablement ses forces psychiques et métapsychiques. Autrement, il ne pourrait et ne saurait tirer profit de tous les biens que la Nature lui offre.

 

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