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  1. La foi Quelle était l’idée principale de la dernière réunion ? Réponse : L’idée de la dernière réunion de vendredi consistait à apprendre à garder le silence, à devenir comme les enfants, à développer la compassion, à faire des exercices sur l’esprit, sur les vertus, sur le développement des sens et à se préparer pour la Pentecôte*. À l’arrivée de la Pentecôte, vous devez appliquer la loi du sacrifice de soi. Celui qui accepte l’Esprit Divin doit faire la volonté de Dieu, et non pas ce qu’il lui plait. D’ailleurs, même aujourd’hui, vous n’agissez pas de votre propre gré, mais une volonté étrangère intervient en vous. Vous devez essayer d’augmenter votre Foi. Un verset nous apprend que sans la Foi, il est impossible d’être agréable à Dieu, mais la Foi dont on parle et celle qui est capable de produire des miracles. Avez-vous fait des exercices sur la Foi et quels exercices avez-vous faits ? Pour augmenter votre Foi, on demande de chacun de vous de trouver la Paix intérieure. L’homme doit s’adapter à la réalité du quotidien, aux conditions dans lesquelles il vit pour qu’il poursuive son développement à l’endroit où il se trouve au moment présent. Par exemple, combien d’entre vous auraient le courage de monter à bord d’un aéronef ? Peu d’entre vous l’auraient fait, car cela demande un grand courage. Et combien sont les épreuves qu’on peut rencontrer dans ce monde ? Si un homme peut monter à bord d’un aéronef, il augmentera sa Foi. Vous devez percevoir la Foi comme les racines d’une plante que vous plantez dans le sol et grâce à ces racines, elle est ancrée dans le sol. D’après la même loi, grâce à la Foi, l’homme est ancré en Dieu. Lorsque vous êtes bien ancrés, Dieu vous soutient aussi. À travers les époques et les épreuves, les gens qui avaient la Foi en Dieu n’ont jamais été trompés. Bien sûr, il y a la Foi qui peut être réalisée, mais nombreux sont ceux qui ont subi de grandes souffrances, malgré leur grande Foi, car elles étaient nécessaires à leur développement. Leur Foi donne du sens à leurs souffrances. Vous avez tous connu la Foi, sous une forme ou sous une autre, et vous ne devez pas chercher une nouvelle Foi, mais développer celle que vous avez déjà, pour qu’elle puisse passer par une nouvelle étape. Imaginez que vous avez une embarcation que vous voulez amarrer sur le rivage. Quelqu’un essaye de la pousser, mais n’y arrive pas par lui-même et perd la Foi. Une autre personne se joint à lui, ils poussent ensemble, mais n’y arrivent pas non plus. Plusieurs d’autres personnes se joignent à eux sans succès. Enfin, ils sont déjà une dizaine de personnes et réussissent à la pousser sur la grève. Ils croient qu’une dizaine de personnes sont capables d’accomplir le travail. Vous aussi, vous mettrez cette loi à l’œuvre – si une personne ne peut pas accomplir un travail, que d’autres viennent se joindre à elle, jusqu’à une dizaine de personnes, et jusqu’à ce qu’ils réussissent à l’accomplir. C’est une loi de la Foi – lorsque tout le monde s’unit, la loi Divine commence à agir. La faiblesse des chrétiens réside dans leur désunion et lorsqu’une personne ne peut pas accomplir un travail, ils perdent l’espoir et pensent que ce travail est impossible même pour plusieurs personnes. Au contraire, dix, vingt ou trente personnes doivent s’unir et l’accomplir par cette force commune. C’est la seule façon d’avoir un bon résultat. Il faut de la volonté ! Pour réussir à garder le silence, vous devez développer votre bonne volonté. Le Bien qui se cache en toi doit être développé d’une façon ou d’une autre. Chaque personne a ses propres méthodes par lesquelles elle peut travailler. La situation actuelle des gens ressemble à celle des fonctionnaires qui attendent leur salaire mensuel. Bon, si on les mettait à la porte, que feraient-ils ? Donc, la Foi est cet état d’esprit, cette Force à l’intérieur de l’âme qui permet à l’homme de s’adapter, c’est-à-dire, de ne pas être surpris par les conditions à aucun moment. Pour cela, vous devez réfléchir et éliminer cette atmosphère dense qui existe entre vous. Soyez toujours dans un état de réflexion pour ressentir l’acquisition d’une petite Force. Chez ceux qui font de l’exercice physique, les muscles commencent à prendre du volume et ils sont déjà capables de soulever de plus grands poids. C’est un processus qui prendra de la vitesse graduellement. La Foi d’un enfant et la Foi d’un saint sont différentes l’une de l’autre : la Foi de l’enfant et la Foi du saint sont orientées dans des directions différentes. Les Anges ont la Foi aussi, mais leur Foi est complètement différente. La Foi sous-entend une grande loi qui ne comporte pas d’exceptions. Si parfois nous n’avons pas de résultat, c’est parce que nous avons enfreint cette loi. Si quelqu’un de vous prie et ne reçoit rien, c’est parce qu’il ne prie pas comme il faut. Celui qui hésite n’aura pas ce qu’il veut. La première chose dans la Foi est l’absence d’hésitation, d’indécision. Comme vous avez assez parlé jusqu’à maintenant, la meilleure chose à faire lorsque vous vous réunissez le vendredi est de garder le silence pendant trente minutes ou une heure. Ce qui a été dit le dimanche, ce qui a été dit le jeudi, essayez de l’appliquer. Si vous n’appliquez pas certaines de ces règles, vous aurez du matériel accumulé sans aucune application. Cela arrive aussi dans les écoles, lorsque les enseignants donnent trop de leçons : les élèves ne peuvent pas les assimiler, leur mémoire se surcharge et ils finissent par devenir moins intelligents. On parle de volonté, d’intuition, de foi et de plein d’autres choses et l’homme ne sait pas quoi choisir. Commencez par méditer sur la Foi. Donc, lorsque vous vous réunissez, commencez à garder le silence, à méditer, jusqu’au moment où vous ressentez l’harmonie s’installer en vous et vous êtes tous dans un état plus élevé. Cela démontre que vos esprits commencent à s’harmoniser. Bien sûr, cela demande du travail. Faites cet exercice pendant une, deux ou trois semaines, faites tout le temps des exercices pareils ici, puis à l’extérieur. Pour ce vendredi, avez-vous des questions de discussion, un objectif de discussion ? Réponse : Pour atteindre l’union et l’harmonie entre nous, pour qu’on puisse travailler, nous allons nous mettre en groupes. Est-ce que ces groupes travaillent déjà ? Réponse : Certains groupes – oui. Mettez deux-trois sœurs par groupe et elles seront capables d’accomplir le travail pour dix personnes. Parfois, deux personnes pourront accomplir le travail pour trente personnes. Bref, cela ne dépend pas de la majorité. La Foi est essentielle pour avoir un état d’esprit serein. Il faut avoir une grande détermination pour ne pas être indécis à l’intérieur, pour pouvoir rester maitre de soi et endurer toutes les épreuves pendant la période du silence. Il existe des méthodes pour travailler, mais en même temps, il y a aussi de nombreuses distractions qui ne vous laissent pas de temps libre. D’autre part, c’est mieux pour vous, car vous ne sauriez pas comment utiliser votre temps. L’endroit où Dieu vous a placés est le meilleur pour vous. Il a bien ordonné le travail que vous devez accomplir, mais il faut savoir comment le faire. Par exemple, si chacune de vous se fixe comme objectif de rétablir l’harmonie entre tous ses amis qui ne s’entendent pas bien, de leur parler de choses sublimes, de Dieu, en laissant ses difficultés personnelles de côté, ce sera déjà beaucoup! Si vous attendez que la vie se règle toute seule, elle ne sera pas réglée même dans dix-mille ans ! Si vous ne travaillez pas, vous ne deviendrez pas meilleures de ce que vous êtes maintenant. La vitesse de votre progrès dépend de votre volonté aussi. Les richesses que vous possèderez dépendent de la force de votre volonté aussi. Pour savoir ce que vaut une personne, donnez-lui cent leva et voyez ce qu’elle en fera : si elle les dépense pour acheter du vin, cela veut dire que la prochaine fois lorsque vous lui donnerez mille leva, elle fera la même chose. Pensez-vous que si l’abeille ne peut pas vous piquer, elle ne vous fera pas quelque chose d’autre ? Ce qui compte, ce n’est pas ce que vous avez, mais comment vous l’utilisez. Si Dieu vous donne un talent et vous l’utilisez pour mettre des milliers de personnes dans le doute et pour les pousser vers l’abysse, je vous demande, en quoi vous est-il utile ce talent ? De la même façon, les scientifiques d’aujourd’hui découvrent de divers moyens qui tuent les gens. Pourquoi travailler dans le domaine des sciences alors ? Vos connaissances doivent contribuer seulement au bien de l’humanité. Voici ce que vous pouvez faire : supposons que vous êtes l’interrupteur à clé d’une installation et que c’est le travail que Dieu vous a confié. Vous direz : « Est-ce que ma contribution est vraiment importante ? » Votre contribution est très importante ! Lorsque vous tournez, la lumière s’allumera partout. Si une personne commet un crime ou non, cela dépendra de vous, si vous êtes interrupteur. Si vous tournez et éclairez autour d’elle, elle pourra voir clairement et réaliser son crime. Si vous ne tournez pas, il ne verra rien dans le noir et le crime sera évité. Les bonnes personnes sont des interrupteurs. Certains disent : « Prions pour les méchants ! » Ce n’est pas nécessaire, car vous aurez la main sur la clé de l’interrupteur et vous la tournerez selon les besoins. Autrefois, Élie priait Dieu pour la pluie, car il avait empêché la pluie de tomber pendant trois ans. C’est comme cela que nous devons percevoir la question : chacun doit savoir qu’il est un interrupteur et qu’il peut apporter sa contribution. S’il est fidèle à son poste, son travail sera d’une grande utilité. Mais s’il laisse la clé de l’interrupteur sans surveillance en disant : « Tournez cette clé comme vous voulez », les enfants seront les premiers à venir jouer avec celle-ci en la tournant sans cesse pour enfin la briser. Lorsque les gens laissent les enfants les guider, ils perdent toute leur force. Certaines personnes plus âgées, en observant la vie d’aujourd’hui, disent : « Les gens d’aujourd’hui sont gouvernés par les enfants ». Ainsi, beaucoup de mères ne refusent rien à leurs enfants, ne les contredisent pas, pendant que les enfants tiennent la clé dans leurs mains. Non, la mère doit tourner la clé et dire à son enfant : « Quand tu auras faim, je te nourrirai, quand tu auras soif, je te donnerai à boire, quand tu n’auras rien à porter, je t’achèterai des vêtements, quand tu n’es pas éduqué, je paierai pour tes études, mais si tu ne veux pas étudier, écrire ou manger, je vais te donner une grosse claque ! » En réalité, cela arrive à tout le monde : une personne est mécontente de tout, elle se plaint, elle grogne, et enfin Dieu lui envoie un malheur quelconque, il la soumet à l’éducation Divine – il lui donne une grosse claque. Ainsi, quand Dieu nous nourrit, nous mangerons, quand il nous donne à boire, nous boirons, quand il nous éduque, nous étudierons, et de cette façon, nous éviterons les malheurs de ce monde. C’est quoi la clé en nous, où est-elle cachée ? La clé est dans le Savoir. Comment Élie a empêché la pluie de tomber, qu’est-ce qu’il a fait pour que la pluie revienne ? Il a prié et la pluie s’est mise à tomber. La Foi et le Savoir sont deux choses dont vous avez besoin. Si l’homme n’a pas de Savoir, comment va-t-il prier ? La prière sous-entend le Savoir. Il y a tant de choses pour lesquelles vous pouvez prier : vous devez prier pour être sages, pour avoir un bon cœur, pour être honnêtes et justes. L’homme doit travailler fort pour cultiver son âme. Ce que l’homme peut faire pour soi-même, personne ne peut le faire pour lui. Pour cela, l’homme doit s’enfermer et réfléchir longtemps, éliminer tous ces sentiments qui l’empêchent sur son chemin et entretenir des pensées positives. Il ne doit pas se laisser envahir par la peur pour éviter de faire des erreurs, mais il doit avoir du courage. Il ne doit pas se questionner sur ce qu’il ne doit pas faire, mais sur ce qu’il doit faire. Il ne doit pas réfléchir sur ce qu’il ne doit pas croire, mais sur ce qu’il doit croire. Réunissez-vous pour réfléchir ensemble et trouvez tous votre point, votre trait de caractère le plus faible. Chaque personne a au moins un point faible. Avez-vous remarqué que le cochon qui essaye de se sauver vérifie la clôture partout et aussitôt qu’il trouve en endroit plus faible, c’est par là qu’il passe ? Chaque personne a un point faible où la clôture est moins bonne et que vous devez mieux protéger. Si le cochon le trouve, il passera par là – ce trou est facile à trouver. Chaque personne a une faiblesse et cette faiblesse défait les bons côtés de l’homme en les rendant inutiles. Question : Comment une personne impatiente peut-elle devenir patiente ? Piquez votre main avec une aiguille et mettez votre patience à l’épreuve. Vous n’avez pas à le faire seules, car de toute façon les autres vont le faire pour vous. Vous êtes très bonnes à vous blesser entre vous. Si l’une d’entre vous veut apprendre la patience, qu’elle demande à une autre de venir la piquer avec une aiguille. Sachez que les désirs que vous avez ne sont pas les vôtres. Faites un essai et vérifiez-le vous-mêmes. Vous voulez des fois faire quelque chose au nom de Dieu, mais en même temps vous avez envie de vous faire faire une robe ou des chaussures. Le premier désir cède, la chose la plus importante est reportée dans le temps. Avec l’idée la plus signifiante vient l’idée la moins signifiante. Essayez d’écarter cette idée insignifiante, car elle vous est insinuée par la loge Noire. Aussitôt que tu décides de faire quelque chose de bien, la loge Noire te dit : « Ce n’est pas pour toi ! » Beaucoup de fois, tu te dis : « Je serai patient ! », mais la loge Noire te dit : « Tu n’es pas encore assez mature et pour cela que tu ne peux pas être patient. » Et tu rapportes ton désir pour un autre moment plus propice. Cependant, tu as besoin de patience justement parce que tu n’es pas encore mature. Lorsque tu seras assez mature, la patience viendra toute seule, naturellement. Maintenant, vous allez étudier l’art du silence. Apprendre à garder le silence, c’est la plus grande grâce. Commentaire : Il y a des gens qui semblent garder le silence, mais ils sont déchirés à l’intérieur. Je vous parle du silence spirituel – observer le silence devant Dieu. Lorsque vous vous réunissez, isolez-vous – prenez l’habitude, lorsque vous pensez à quelque chose, de garder l’idée que vous êtes seules, lorsque vous parlez de quelque chose, de penser que vous le dites à vous-mêmes, et lorsque vous pensez au silence, de penser que vous l’observer pour vous-mêmes. C’est seulement de cette façon que l’élève peut apprendre à garder le silence. Si je vous donne une règle tout en sachant que vous avez des enfants, un mari, du travail dans la communauté, et que vous ne pouvez pas la respecter, ce ne sera pas sage de ma part. Dans votre situation actuelle, vous voulez être fortes, mais la première chose que vous devez faire est de régler les petits ennuis que vous avez à la maison. Vos ennuis domestiques sont très importants. Par exemple, quelqu’un dit : « Je ne supporte pas telle ou telle personne ». C’est votre point faible. Comment irez-vous au Ciel alors ? La première condition pour aller au Ciel est de supporter tout le monde. Comme le dit la sainte Écriture, nous allons tous changer. Vous aurez le même état d’âme dans dix-mille ans ou plus, si vous ne changez pas. Un professeur américain a dit qu’il ne voudrait plus jamais revoir certaines personnes même dans dix-mille ans. Mais s’il les revoit même dans dix-mille ans, s’il ne change pas, le même sentiment le tourmentera. Le temps tout seul ne guérit pas les choses, il guérit dans la mesure où nous faisons l’effort pour changer les choses. Je voudrais que vous commenciez à travailler sur vous-mêmes, sur votre perfectionnement – c’est le travail le plus difficile. Vous développerez votre Foi, la compassion, le cœur, la raison, l’imagination, la musique. Vous avez tout cela à développer, et ce, en fonction du temps dont vous disposez. Pour le moment, le Seigneur a ordonné deux heures de travail par jour. Que faites-vous pendant ce temps ? J’ai vu des ânes qui ont été enfermés pendant longtemps et ensuite lâchés en liberté – ils roulent par terre, mais non pas dans l’herbe, mais dans des endroits poussiéreux. Je ne ris pas de cet âne, car ce qu’il fait est intelligent – il a des puces qui le dérangent et pour cela il dit : « Vous allez voir ! », après quoi il les couvre de poussière. L’âne symbolise la ténacité de l’homme. Une personne tenace roule dans des endroits poussiéreux et dit : « Vous allez voir, vous ne m’enfermerez plus ». Ce sont des comparaisons. Les animaux qui roulent dans la poussière ont une disposition bien différente. Nous examinons l’âne d’un point de vue humain et nous croyons que son comportement n’est pas intelligent. L’été, l’âne doit trouver un pâturage vert ou aller plonger dans l’eau limpide. Certaines d’entre vous ont progressé plus que d’autres, mais vous devez toutes travailler. Chaque être humain possède certaines faiblesses qui ne découlent pas d’une mauvaise volonté, mais de son karma. Question : Le travail intensif sur soi-même peut-il nous aider à changer l’état de notre âme ? Si nous étions des chenilles, même si on mangeait beaucoup de feuilles, on ne serait pas transformés en papillons avant une certaine période de temps. Entretemps, il faut se préparer pour devenir un papillon. Vous pouvez vous polariser. À un moment donné, l’homme peut trébucher et perdre cent ans, mais il peut aussi gagner cent ans de progrès en un seul moment. Chaque soir, il doit reconnaitre ses péchés devant Dieu, sans pour autant devenir mou. La bonne personne doit être forte. On dit souvent que l’homme doit se vaincre soi-même. Se vaincre soi-même, cela n’a pas d’importance capitale, c’est même mauvais, cependant il faut se connaitre soi-même. Supposons que tu as l’habitude de te battre de temps en temps, et maintenant, pour t’empêcher de le faire, tu te casses le bras. Qu’est-ce que tu gagnes de cela, pourquoi dois-tu casser ton bras ? Au contraire, tu aurais du dire : « Ce bras est sous ma volonté et je dois le maitriser ! » Je ne veux pas que vous soyez les vainqueurs des autres, mais les maitres de soi. Lorsque vous tombez en colère ou une pensée négative survient en vous, faites un effort pour maitriser ces pensées et dites-leur : « Ici, à l’intérieur, vous n’êtes pas à la bonne place. Ici, c’est un égout, et vous pouvez seulement passer sans vous arrêter ! » Vous devez être comme l’employé de la station ferroviaire qui ouvre les rails avec sa clé pour que les différents trains puissent passer et continuer dans la bonne direction. Avec votre clé, vous pourrez vous aussi envoyer vos pensées et désirs dans la bonne direction. Question : Parfois, une personne est calme à l’extérieur, mais à l’intérieur, elle tremble. Comment faire pour arrêter cette agitation intérieure ? Qu’elle tremble. Je pourrais vous guérir tous en un an, si nous avions à notre disposition un beau jardin avec des fleurs variées et des ruches avec des abeilles, un verger avec plusieurs sortes de fruits et un potager, pour vous en occuper afin d’y puiser de l’énergie et de la tranquillité. Si vous êtes anémiques et indisposés, je vous demanderai de vous occuper du cerisier et vous verrez que votre disposition sera transformée. Si votre Foi est faible – je vous confierai le chou pour l’arroser et veiller sur lui. Ce sont des formules, bien qu’elles représentent des actions extérieures. Tu es déprimée ou découragée – pose ta main sur ton front et ton état changera en cinq ou dix minutes. Si vous n’utilisez pas ce moyen, ceux d’entre vous qui aiment résoudre des problèmes mathématiques, écrire ou dessiner, qu’ils utilisent un de leurs passetemps préférés. Trace un triangle, colorie-le en rouge, bleu ou vert, et en moins de trois ou quatre minutes ton humeur changera aussi. Question : C’est pour détourner l’attention, n’est-ce pas ? Non, cela te donne une certaine force pour mettre le diable au travail et tu dis : « Comprends-tu ces triangles ? » et il te répond : « Je les comprends ». Et ce que tu fais maintenant à la maison est de t’énerver, car plusieurs sont ceux qui t’irritent. Tu perdrais l’équilibre même si tu étais la personne la plus patiente. La chose la plus difficile pour l’homme est d’être toujours patient et poli. Il m’arrive parfois d’observer certaines personnes – elles sont dans un état si tendu qu’à l’approche de quelqu’un, sans réfléchir s’il est coupable ou non, ces personnes piquent une terrible colère en lui disant : « Je ne veux plus te voir ici ». Ensuite, elles se sentent soulagées, mais lorsqu’elles réfléchissent un peu, elles réalisent que ce n’était qu’un passant qui n’était coupable de rien. Ce sont des états purement psychologiques. C’est un état tendu de l’atmosphère – par exemple, deux nuages noirs se croisent, leur électricité les rapproche, l’air devient ozoné et vous commencez à attirer cette électricité de bas en haut. Si tu es en colère, va dans le bois, crie, hurle aux arbres, aux roches – ils seront ozonés et ta colère passera. Ensuite, lorsque tu réaliseras que tu t’es retrouvé dans le même état, tu trouveras cela très amusant. Un professeur américain m’a raconté une telle histoire : il n’aimait pas aller au bal, mais il aimait danser, alors lorsqu’il avait très envie de danser, il prenait une chaise et dansait avec lui à la maison. Même à ses yeux, c’était une chose ridicule à faire, mais il était soulagé. Les méthodes qu’on vous donne, vous pouvez les appliquer et choisir celles dont vous avez besoin, selon le cas. Nous devons utiliser la Nature, elle est le vrai moyen de guérison. La vie en ville aujourd’hui est antinaturelle, ce qui provoque un état antinaturel, un manque d’énergie qui ne peut être puisée nulle part et que tout le monde cherche, mais elle ne vient pas. Il y a une autre méthode de travail : lorsqu’une d’entre vous éprouve des difficultés importantes, soyez plusieurs à lui envoyer vos bonnes pensées et à l’aider. Lorsque quelqu’un est malade et ne peut pas labourer son champ, que vingt de ses proches aillent à sa place et qu’ils travaillent tous vingt heures, et le champ sera labouré entièrement. On dit aussi qu’on doit s’entraider, n’est-ce pas ! La vie la plus pénible est lorsque l’homme vit seul. Personne ne vit pour soi, personne ne meurt pour soi. Pourquoi dans la nature beaucoup d’herbes poussent ensemble au même endroit ? Pour retenir l’humidité. Là, où il y a juste une petite fleur, elle se fane plus vite. Ainsi, lorsque plusieurs personnes se réunissent dans une société, ils retiennent l’humidité plus longtemps. Et lorsque l’homme est seul, il doit se trouver dans des conditions très favorables et avoir beaucoup de connaissances pour pouvoir résister dans le monde. Vous aussi, vous avez des conditions maintenant, vous avez tout. Je remarque souvent que lorsque je vous donne certains symboles, vous les interprétez n’importe comment. Par exemple, je me réfère à une loi, je dis que dans la loi Divine il n’y a pas d’exception, mais dans la compassion Divine, il y a des règles qui peuvent adoucir la loi. Je dis aussi que rien n’est donné et c’est vrai, mais la compassion Divine est une autre loi. Et selon elle, si l’homme est prêt pour une chose, on la lui donne. Les deux sont vrais – en dehors de Dieu, rien n’est donné, et à l’intérieur de Dieu, tout est donné. Si un général veut faire carrière dans la société, c’est bien, mais il peut la faire grâce à ses connaissances et à son courage. Un professeur peut se démarquer grâce à ses connaissances et non pas par grâce. Lorsqu’on t’invite à un diner, tu peux avoir la première place à la table, mais dans la société, tu ne peux pas occuper la première place si tu ne l’as pas méritée. Ainsi, la première place sous-entend du travail. Quelqu’un dit : « Je veux avoir du talent ! » Vous connaissez la fable du mécontentement de l’âne – lorsque Dieu l’a créé, il a regardé les autres animaux autour de lui et il s’est rendu compte qu’ils étaient très grands, et lui, il était plus petit même du lapin, et il souffrait beaucoup. Il a prié Dieu pendant longtemps pour qu’il soit plus grand, avec une voix plus aigüe et plus forte, pour que tout le monde puisse l’entendre, mais alors les humains l’ont mis au travail et il est devenu plus malheureux qu’avant. Ainsi, le sens de la Vie ne réside pas dans la quantité, mais dans le peu que Dieu nous a donné, et dans la place que le Destin nous a réservée. Maintenant, vous ne savez pas où Dieu vous a mis, ni ce que vous deviendrez. Si vous êtes une petite graine et vous êtes semées dans un sol sableux, vous ne deviendrez rien, mais si vous êtes semées dans un sol fertile et on prend bien soin de vous, vous deviendrez une belle pomme. Maintenant, vous allez réfléchir à votre développement. Ne croyez pas que vous ne serez pas tentées ou découragées. Le Christ était découragé aussi. Le moment viendra où vous vous direz : « Mais combien de temps encore dois-je porter ce fardeau ? » Je propose de déterminer une prime pour celle d’entre vous qui réussira à développer une vertu. Quelle doit être cette prime ? Réponse : Nous ne pouvons pas déterminer cette prime. Ah, que vous êtes rusées, vous êtes capables de me vendre dix fois au marché ! Certains disent : « Nous ne savons rien sur la question, c’est toi qui décides ! », mais lorsque cela les concerne personnellement, ils disent : « Ce n’est pas vrai, n’y crois pas ! ». Donc, ils ont une opinion aussi. Certains disent : « Nous sommes prêts à tout, nous sommes prêts à faire ce que tu nous dis de faire ! » C’est ce qu’on dit, mais en réalité, vous n’êtes pas prêts à faire tout. Si je vous demande de vous lever à minuit et de sortir dans les rues de la ville, combien d’entre vous le feraient ? Réponse : Nous sortirons, pourvu que ce soit pour une bonne cause. Cela n’a pas d’importance. Certains le feront, et d’autres – non. Si je vous dis que vous, vos enfants et vos maris mourront si vous ne sortez pas, alors vous sortirez, vous le ferez, car vous aurez peur. Dans ce cas, même si tu étais menacée avec une arme à feu, tu sortirais même pour aller à la guerre. Vous devez accomplir ce que votre esprit peut accepter à un moment donné et dans une situation donnée. Actuellement, votre bonne volonté manque de force. La mauvaise volonté est mieux développée. Cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas de bonnes personnes, mais que la mauvaise volonté domine sur la bonne volonté. Ces deux forces – la bonne et la mauvaise volonté – prennent des directions diverses et comme une partie de la matière de notre corps n’est pas pure, cela produit des perturbations en nous. Nous devons nous purifier des péchés, car il y a en nous quelque chose d’impur qui entrave notre bonne volonté, et nous devons faire de grands efforts pour laver les impuretés et solliciter la matière Divine, c’est à dire, créer le Nouvel homme. Vous dites d’une personne qu’elle est faible. Certainement, tant que la personne ne lave pas cette matière qui l’entrave, elle ne peut pas être forte. Ainsi, vous allez travailler maintenant sur le développement de la Foi et de la volonté. Pour développer votre volonté, vous devez vous mettre à l’esprit un idéal quelconque. Prenez comme idéal le Christ, c’est-à-dire le Seigneur Vivant qui s’est manifesté dans le monde. Notez les moments les plus sublimes et raisonnables qui se manifestent dans votre vie – ce sont des manifestations Divines. Ces moments sont rares, mais essayez de préserver cette image qui s’est manifestée en vous. Lors de ces moments rares, c’est Dieu qui vous a parlé. Pendant l’année, il parle seulement une, deux ou trois fois, alors vous devez garder ses paroles. Plus Dieu vous parle souvent et plus vous vous éloignez de lui, plus vos souffrances s’intensifient. C’est tout à fait naturel : vous avez un enfant que vous aimez, mais aussitôt qu’il s’éloigne de vous, vous commencez à vous inquiéter et à souffrir. Dieu agit de la même façon. Dieu utilise le fait qu’on s’éloigne et qu’on s’approche pour nettoyer notre temple. Lorsque votre temple sera nettoyé, Dieu viendra. C’est pour cela que dans l’Ancien Testament, on dit : « la gloire de l’Éternel remplit le temple ». Donc, la bonne volonté, vous pouvez tous l’avoir. Je vous parle d’expériences que vous pouvez toutes avoir. Vous avez besoin de volonté ! Vous êtes toutes bonnes ! Cela vous fait rire quand je dis que vous êtes toutes bonnes. Quand je vous dis que vous êtes bonnes, savez-vous ce que j’entends par là ? Cela veut dire que celui qui vit avec Dieu, il ne peut pas être méchant. Et puisque vous aspirez tous à vous approcher de Dieu, vous êtes toutes bonnes, c’est ça mon idée. Je vais vous dire à quelle catégorie appartiennent certaines de vos expériences. Par exemple, vous avez faim – quel sentiment est la faim ? C’est un sentiment physique. Vous mangez à votre faim et vous vous sentez bien. Quel est ce sentiment agréable ? Il est physique aussi. Vous ne pouvez pas vous fier à ce sentiment, car il est sur le plan physique. Vous avez un ami que vous aimez et lorsqu’il est avec vous, vous vous sentez bien, vous vous sentez forts, puissants, mais lorsqu’il s’éloigne, vous trouvez cela désagréable. C’est un état mental, mais il s’agit d’un sentiment éphémère sur lequel on ne peut pas poser le fondement d’une maison. Nous allons parler maintenant de ces sentiments qui représentent la manifestation sublime de l’Amour : lorsque vous aimez une personne et ne ressentez aucun changement, qu’elle soit près de vous ou non, c’est un sentiment Divin. Toutes les formes qui changent en vous sont insignifiantes. Vous voyez le Christ comme vous L’aviez connu autrefois. De cette forme plastique qui reste toujours la même dans votre esprit découlent des Forces raisonnables lorsque vous vous tournez vers elle. Question : Est-ce que cette forme est identique pour tout le monde ? Elle est différente pour tous. Lorsque vous avez faim, imaginez le Christ qui marche pieds nus en Palestine. Certains disent avoir vu le Christ en lumière, nimbé, etc. Il y a des formes, par lesquelles le Christ se manifeste parfois dans le monde physique, parfois dans le monde astral, et parfois – dans le monde Divin. Lorsque vous faites des exercices et observez vos pensées, vous atteindrez un état où vous les percevrez sans qu’elles produisent en vous de la confusion. Lorsque les pensées viennent du monde Astral, elles portent toujours une petite hésitation. Question : Lorsque le Christ se montre à une âme, ne comprendra-t-elle pas que le Christ est son idéal ? Le Christ dira à tout le monde : « Si tu ne hais pas ton père, ta mère, et même ta propre vie, tu ne peux pas être Mon disciple ! Si tu ne prends pas la croix et ne Me suis pas, tu ne peux pas être Mon disciple ! » C’est la première forme, à travers laquelle le Christ se montrera. Lorsque vous accepterez cette forme du Christ, toutes les souffrances disparaitront. Cela sera accompagné par l’autodéveloppement de votre conscience. C’est un sujet abstrait… Certains d’entre vous ont des expériences religieuses, et pour d’autres, c’est obscur. Une autre chose que vous devez acquérir, c’est d’apprendre à garder le silence. Celui qui a vu le Christ, il doit garder le silence. Alors, le Christ sera une Force en vous. Si j’étais une chandelle allumée, devrais-je le prouver ? La rose devrait-elle prouver qu’elle est une rose ? Elle n’a pas besoin de le prouver – son parfum le prouvera. Si tu ne te fies pas à son odeur, est-ce que c’est sa forme qui te dira que c’est une rose ? J’associe cette idée à une autre idée que vous garder en vous : vous désirez vous libérer des nombreuses souffrances et du doute, vous voulez être fortes. Faites alors un petit essai : choisissez une sœur pauvre et travaillez sur elle, voyez ce que vous pouvez faire. À votre avis, que devez-vous faire pour elle ? Imaginez la situation suivante : l’une de vos sœurs a perdu tous ses biens, elle n’a pas d’argent, elle n’a pas de maison ni de terre, elle est dans une situation désespérée – que feriez-vous pour elle ? Celle d’entre vous qui a plus de possessions, qu’elle lui donne un bol à soupe, qu’une autre sœur lui donne une poêle, qu’une autre sœur lui donne un oreiller ou une couverture. Vous verrez qu’elle se remettra sur ses pieds dans peu de temps. Ce sont des formes par lesquelles vous comprendrez mon idée. Aidez tout le monde en leur donnant ce dont ils ont besoin. Quelqu’un est impatient – donne-lui ton petit bol à patience. Quelqu’un n’a pas de Foi – donne-lui ta poêle à Foi. Quelqu’un n’a pas d’oreiller – donne-lui un des tiens. Tu verras que dans peu de temps ton frère ou ta sœur iront mieux et ils diront : « Ce sont des frères et sœurs bien ! » Si vous ne leur apportez rien, vous souffrirez. Ce n’est pas un travail pour une seule personne, mais lorsque vous êtes plusieurs, vous êtes capables de le faire. À vous toutes, il vous manque un petit bol. Faites un tel essai. La prière collective est puissante et pour cela, lorsque tout le monde prie au même moment avec le même objectif tout en étant honnête et sincère, la prière porte des fruits. La prière est forte, lorsque l’harmonie règne parmi vous. La disharmonie découle du fait que la personne qui vous a accordées ne connait pas cet art. Pour cela, l’harmonie entre vous, je l’appelle aussi accordage ou réglage. Et c’est vrai que la meilleure partie d’un concert, c’est l’accordage du violon et des autres instruments. La première chose que je demande de vous et de vous surpasser les uns les autres par rapport au respect mutuel et à l’estime. Ce que nous faisons à l’extérieur, que ce soit la manifestation de notre bon état d’esprit intérieur que nous avons en l’honneur de l’Éternel. Admettons que vous trouvez l’une des sœurs ici désagréable. Faites alors la manœuvre suivante : imaginez que vous vous trouvez dans une situation désastreuse ou que vous vous noyez dans une rivière profonde et c’est justement cette sœur qui vous vient en aide. Faites une pause intérieure et observez le sentiment que vous ressentirez. À l’instant même, vous serez plus doux envers cette sœur et vous direz : « Si ma sœur peut faire une chose pareille, je vais changer mon opinion d’elle et je vais l’aimer ! » Ou bien, imaginez l’inverse : cette sœur que tu n’aimes pas se noie dans la mer ; va tout de suite près d’elle et dis-toi : « Je vais la sauver, car je suis plus forte qu’elle, et celui qui est plus fort doit toujours venir en aide aux faibles. » Ce sont des occasions qui vous sont données pour votre développement. Maintenant, vous allez faire des essais. Vous demanderez comment. Lorsque tu auras envie de faire cet essai, tu prieras pendant un, deux, trois, jusqu’à quatorze jours pour que tu puisses le réaliser et ensuite tu ressentiras une disposition intérieure favorable à sa réalisation. C’est seulement à ce moment-là que tu entreprendras le travail. Contrairement à cela, ce que vous faites maintenant est d’attendre que les choses se règlent toutes seules. C’est vrai qu’elles peuvent se régler seules, mais le résultat est complètement différent. Essayez tous de réaliser cet essai. C’est seulement de cette façon qu’on donne du sens au verset suivant : « Priez les uns pour les autres, pour que vous soyez guéris. » Priez pendant un à quatorze jours et l’Esprit dira : « Vous pouvez faire maintenant l’essai. » L’Esprit dit : « Si quelqu’un est sur le bon chemin, Dieu le réconcilie. » Ainsi, vous devez toutes commencer à prier pour que vos chemins soient agréables à Dieu et pour qu’il vous réconcilie avec les autres et vous apporte l’harmonie et le Divin en vous pour vous entendre et vous aimer. C’est le Chemin, ce sont les exercices que vous devez faire pour vous préparer pour la Pentecôte. *Pentecôte : la Pentecôte est une fête chrétienne qui tire son origine d’une fête juive. Elle célèbre la venue du Saint-Esprit, cinquante jours après Pâques, sur les apôtres de Jésus-Christ, rapportée dans les Actes des Apôtres. Conférences devant les Soeurs Sofia, vendredi 5 mars 1920
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